UPDATE: Ajout de la version détaguée de la Photo en N&B / Added untagged B&W version
Source Scans @flying099 / Untagged picture thanks to Gossipgyal
Traduction en cliquant sur 'Voir la suite' / Translation after the cut
Traduction par le RPattzClub:
Il a fait exploser les entrées de cinéma avec Twilight, maintenant à l'âge adulte, il est la nouvelle image de Dior.L'hôtel de Beverly Hills est un des établissements les plus historiques d'Hollywood, un de ces endroits qui, si tu y penses, tu peux sentir l'ambiance de l'époque dorée et le glamour du cinéma Américain. Entres ses murs rose-pâles - qui lui ont donné le surnom de "Pink Palace"- ont dormi, mangé et bu des stars du gabarit de Marilyn Monroe, Cary Grant, Grace Kelly, Lucille Ball ou Elizabeth Taylor, pour n'en citer que quelques uns. Encore aujourd'hui le Beverly Hills est encore un point de rencontre de la "royauté" de l'industrie et, puisque le meilleur endroit pour cacher un arbre est une forêt, cela semble le lieu parfait pour interviewer la proie la plus chassée des paparazzis de Los Angeles: Robert Pattinson. Habillé d'un jean, d'un sweat et d'une casquette de baseball à l'envers, il nous attend assis dans une suite. Il porte une barbe épaisse et non, il ne brille pas quand le soleil de Californie illumine ses yeux bleus. En fait,Robert a l'air de moins en moins d'un vampire universitaire et de plus en plus d'un acteur mature à la recherche de rôle significatif. Si on observe sa récente filmographie, on peut y trouver plus de petits films comme "Cosmopolis", de David Cronenberg - que de blockbusters. Sa collaboration avec Dior, sous les commandes du réalisateur Romain Gravas, représente un pas de plus dans son voyage vers l'âge adulte. Ironie du destin, l'homme, que la presse Britannique a surnommé le nouveau Jude Law à la suite de son rôle dans Harry Potter le remplace comme visage du parfum Dior Homme. "Tous le monde est le nouveau quelqu'un" plaisante Pattinson. "Il doit y avoir comme au moins trois nouveaux moi..." Et il rit.GQ: Dans le film de la campagne publicitaire tu as des scènes très chaudes avec le modèle Camilla Rowe. Ne s'est elle pas sentie intimidée d'être au lit avec Robert Pattinson?R.P: Non, je ne crois pas. Elle était si...Non, je ne crois pas...(rire). Et si elle l’était, elle ne me l'a pas du tout démontré (rire).GQ: Et ça ne te semble pas un peu décevant?R.P: Non, aucunement. Si tu dois embrasser quelqu'un que tu ne connais pas et que cette personne reste distante ou essaie de s'éloigner c'est horrible. C'est très cinglant.GQ: Dans Twilight il t'a fallu quatre films pour avoir des relations sexuelles et là en 30 secondes...c'est un progrès.R.P: Oui, c'est ça(rire).GQ: Je suppose que c'est en ça que consiste de laisser l'adolescence derrière soi. Tu as déjà dit que tu commençais à te sentir plus adulte. Pourquoi maintenant? À 27 ans?R.P: Je ne sais pas, je crois que c'est juste l'âge. C'est bizarre, tu commences à changer, l'enfance se termine et tout à coup tu sens que ton corps aussi est différent, tu te sens plus épais. Quand je regarde les photos de la campagne ou de mon dernier film je me vois avec un look différent de ce que j'ai fait avant, je me vois plus mature, comme un adulte, comme si avant c’était...Oh mon dieu! Tu es comme un petit gars qui fait semblant... Oui je crois que c'est l'âge.GQ: Il est clair que Twilight a changé ta vie. Avais tu pensé que ce serait aussi énorme?R.P: Non, pas du tout, je vivais dans un petit appartement quand a une lieu la Première et je ne savais même pas si on allait tourner une suite. Alors le week-end de la sortie est arrivé et ce fut comme: Oups maintenant on va vraiment devoir tourner la suite!GQ: Rêvais tu de devenir une grande star?R.P: Non pas du tout. Je ne pensais même pas être acteur.GQ: Quel prix as tu eu à payer pour le succès?R.P: C'est étrange. Tu n'as plus de vie normale. Tu passes ton temps à lutter contre ça, mais finalement tu finis par trouver une autre façon de vivre. Les gens ne se rendent pas compte à quel point tu es seul. En tout cas je me sens chanceux parce que le succès ne m'est pas tombé dessus trop jeune et au moins j'ai pu avoir une vie avant.GQ: Pendant le tournage de "Little Ashes" à Barcelone, j'ai eu ouïe dire que tu avais même invité à dîner une harceleuse...R.P: Oui c'est vrai. C’était pas grand chose, c’était bizarre, un peu ennuyeux.GQ: Tu n'as pas pensé que ça aurait pu être une psychopathe?R.P: Moi aussi je peux être un peu psychopathe (rire). C'est elle qui aurait dû avoir peur de moi (rire).GQ: Laisse moi te dire que tu te vends un peu mal...R.P: Oui j'essaie de m'améliorer sur ce point. Avant je n'aimais pas qu'on pense que j'avais un gros égo mais maintenant oui. Maintenant j'ai un gros égo (rire). Je ne passerais plus jamais pour quelqu'un d'humble. (dit il avec une voix de mauvais garçon)GQ: Ne ressens tu pas parfois comme si tu devais demander pardon pour le succès?R.P: Quand tu deviens célèbre, c'est tellement facile qu'il y a des gens qui te haïssent juste parce que tu es célèbre ... alors tu essais de te fustiger toi même pour que les autres ne puissent pas le faire.
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
Translation By LetMeSign Via RPlife:
The Beverly Hills hotel is one of the most historic establishments in Hollywood, one of those places in which if you try, you can feel the ambiance and glamour of the golden age of American cinema. Amongst it’s pale pink columns – which have given it the name The Pink Palace – have eaten, slept ad drank stars of the stature of Marylyn Monroe, Carey Grant, Grace Kelly, Lucille Ball or Elizabeth Taylor, to name a few. Even today, The Beverly Hills continues to me a main stop for the industry’s royalty and, since the best place to hide a tree is a forest, it is the best establishment to interview the paparazzi’s favorite prey of all of Los Angeles, Robert Pattinson. Dressed in jeans, sweater and a backwards baseball cap, he waits for us in a suite. Donning a scruffy beard he does not sparkle when the California sun illuminates his blue eyes. In fact, Robert looks less and less like a vampire abandoning high school and more like a mature actor seeking out roles with meaning. If you review his recent filmography, you’ll find smaller films – David Cronenberg’s Cosmopolis – than blockbusters. His collaboration with Dior directed by Romain Garvais, represents one more step on his journey to adulthood. Ironically, the man whom the pressed dubbed the next Jude Law after his role in Harry Potter is substituting him as the face of Dior Homme fragrance. “Everyone is the new someone,” jokes Pattinson. There’s probably about three new mes…” He laughs.
GQ: In the campaign film you have some racy scenes with model Camille Roew. Did she feel intimidated about being in bed with Robert Pattinson?
RP: No, I don’t think so. She was so…No, I don’t think so (laughs). And if she was, of course she didn’t show it (laughs).
GQ: And this doesn’t feel a bit disappointing?
RP: No, not at all. If you have to kiss someone you don’t know and that person keeps their distance or pulls away it’s horrible, it’s very cutting.
GQ: In Twilight you needed 4 films to have sex and in this one you have 30 seconds…It’s a fast forward
RP: Yes, that it is (laughs).
GQ: I suppose that’s what not being a teenager is about. You’ve said you’re beginning to feel like an adult. Why now, at 27 years?
RP: I don’t know, I think it’s the age. It’s strange, you start to change, childhood ends and suddenly you feel that your physical appearance is different, you feel heavier. When I see the photos from the campaign or my last film y feel with a very different look than what I’ve had in other things I’ve done, I look older, like an adult, as if before I was.. “oh lord! You’re like a kid faking it..” Yes, I think it’s the age.
GQ: It’s clear Twilight has changed your life. Did you ever think it would be so big?
RP: No, not at all, I lived in a tiny apartment when the premiere came and I didn’t know if we were going to do the sequels. Then the opening weekend came and it was like: “Oops, now we’re going to have to do the sequels.”
GQ: Did you dream with being a big star?
RP: No, not at all, I didn’t even think about being an actor.
GQ: What price have you had to pay for success?
RP: It’s strange, you can’t have a normal life. You spend a lot of time trying to fight it, but at the end you end up finding a new way to live. People don’t notice how lonely you are. In any case, I feel fortunate because I didn’t achieve success too young and I was at least able to have a life before.
GQ: While you filmed Little Ashes in Barcelona, I understand you invited a stalker to dinner…
RP: Yes, it’s true. It wasn’t that big a deal, it was strange, a bit boring.
GQ: You didn’t think she could be a psychopath?
RP: I can be a little psychopathic too (laughs). She’s the one that should have been scared of me (laughs).
GQ: Let me tell you that you portray yourself badly…
RP: Yes, I’m trying to fix that. Before I didn’t like appearing like I had a big ego, now I do. Now I have a big ego (laughs). I will never again pretend to be humble (uses evil voice).
GQ: Do you ever feel like you have to apologize for your success?
RP: When you become famous, it’s so easy for people to hate you just because you are famous. …So you try to beat yourself up so others can’t.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
N'hésitez pas à discuter et interagir sur les news. Laissez ici vos commentaires, et avec votre prénom ou pseudo c'est encore mieux pour que nous sachions qui vous êtes ;)
Les messages de pub ainsi que les propos grossiers ou insultants seront supprimés. Merci
-------------------------------------------------------------------------------------------------------
Feel free to discuss and interact about the news. Leave your comments here, with your name or alias it's even better so we know who you are ;)
Ads as well as rude or offensive comments will be removed. Thank you
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.