vendredi 25 septembre 2015

Great New Robert Pattinson's Interview with The Irish Times

Super Nouvelle Interview de Robert Pattinson avec The Irish Times



Via The Irish Times:
(...Introduction ...) On peut même dire que le soleil brille un peu plus intensivement depuis que Pattinson honore l’Irlande du Nord de sa présence : "Il a fait super beau depuis que je suis ici," s'émerveille le jeune acteur pourvu d'une grosse barbe. "On me dit qu'il pleut. Mais je ne l'ai pas encore constaté."
 
Pattinson est venu à Ulster avec un but. Sur les pas de Game of Thrones et du reboot de Dad's Army, The Lost City of Z de James Gray est la dernière grosse production à venir tourner dans divers endroits de l'Irlande du Nord, incluant le Collège Méthodiste, Strangford Lough et Craigavon House. Pas que Pattison ait passé beaucoup de temps dans ces endroits majestueux. "Je suis surtout allé sur le bateau qui tombe en ruines," dit-il en riant.
 
The Lost City of Z raconte les exploits de l'explorateur Britannique Percy Fawcett qui en 1925, a disparu en Amazonie en partant à la recherche d'une ancienne cité perdue. Dans les années qui ont suivi, près de 100 explorateurs et scientifiques ont disparu alors qu'ils essayaient de trouver des preuves de l'exploration de Fawcett.
 
Pattinson d'Arabie

Bizarrement, le film est le 2ème cette année qui amène Pattinson à jouer un explorateur Britannique des années 1920: il a récemment interprété Thomas Lawrence (oui, Lawrence d'Arabie) aux côtés de Nicole Kidman dans le biopic sur Gertrude Bell de Werner Herzog, Queen of the desert.
Essaye-t-il de faire revivre un sous-genre ?
"Savez-vous que je n'y avais même pas pensé avant hier," dit Pattinson. "Je ne sais pas comment c'est arrivé. Il est vrai que l'un se situe dans le désert et avec Z nous allons dans la jungle. Mais ce sont des choses similaires. J'ai signé pour ces deux films il y a des années et c'est étrange qu'ils se fassent  au même moment."

La suite après la coupure / English version after the cut



Pattinson et toute l'équipe de tournage vont bientôt partir pour la Colombie. J'espère qu'il a fait les vaccins obligatoires?
 
"Ha. Est ce que vous avez lu mes emails? J'en parlais avec un autre acteur hier et il me parlait de tous les différents vaccins. Je n'ai encore rien fait. Est ce que je dois m'en inquiéter? Parce que je me dis que je devrais en finir et gérer ça comme un homme."
 
Est ce qu'il compte, après son tournage récent avec Werner Herzog, se la jouer Klaus Kinski dans la jungle?
 
"Ils avaient des tas d'idées folles impliquant des petits crocodiles dans la rivière. Mais je pense que mon personnage va être un trouillard. Je suis un peu inquiet concernant les singes. Il y a des centaines de milliers de singes partout en Colombie. Il y en a plus que les oiseaux. Avez-vous vu la vidéo du singe qui sauve la vie d'un autre singe? Ils peuvent prendre le contrôle."
 
Nous ne sommes pas vraiment surpris que la carrière de Pattinson l'ai conduit dans ces endroits reculés, infestés de singes et de lieux mythologiques. (... récap de sa carrière et de ses derniers rôles ...)
 
Est-ce que l'acteur, qui a été classé parmi les 100 personnes les plus influentes au monde par People magazine à l'âge de 24 ans, évite délibérément les projets grand public? Des rôles homogénéisés.
 
"Seulement dans le sens où avec tous les énormes projets grand public que je vois, les personnages deviennent tous un peu uniformisés," dit Pattinson, qui en plaisantant - mais pas totalement - se décrit comme étant un "excentrique". "Et donc c'est comme si vous jouez un cliché ou faite une imitation d'un autre acteur. Si un gros film avec un personnage étrange se présente à moi, alors je ne serais pas effrayé."
 
Est-ce qu'il montre son intérêt aux sommités du cinéma d'auteur, ou est-ce ce sont eux qui frappent à sa porte ?
 
"Un peu des deux. James Gray est un de mes réalisateurs préférés depuis toujours. Quand j'ai vu Two Lovers, j'ai pensé que c'était un des meilleurs films que j'avais jamais vu. A un niveau vraiment profond. J'ai essayé de faire 3 projets avec lui. Aucun n'a abouti. Donc Z est un rêve devenu réalité. Pour Herzog ce fut plus le hasard. Mais quand l'opportunité se présente, vous n'hésitez pas à travailler avec lui."
 
"J'essaye de travailler avec Claire Denis depuis un moment et ça devrait se faire, ce qui est dingue. Ensuite il y a les frères Safdie. Ils sont l'avenir du cinéma je pense."
 
Il parle comme un vrai cinéphile.
"Hum. Quand j'étais plus jeune, j'étais un vrai cinéphile. Quand je vivais à Londres, je regardais énormément de films. J'avais plus d'attirance pour la nouvelle vague allemande et autres. Maintenant je ne sais pas ce qui a changé. C'est comme si j'avais eu un AVC mineur et tout ce que je peux regarder c'est de la tv-réalité. Je me raccroche aux quelques neurones restants."
 
(... Synopsis de Life ...) Un père et un artiste raté, il ne semble ne jamais être à l'aise dans sa peau. La star Londonienne a rarement eu l'air aussi obséquieuse.
 
"Il avait ce truc," acquiesce Pattinson. "Je ne sais pas si c'est un truc typique pour les acteurs. Peut-être que les autres acteurs le repoussent. Mais c'est toujours dans mon tête: penser être une imposture et essayer d'acquérir une certaine confiance en soi afin de pouvoir commencer à créer. 

Il y a des parallèles entre moi en tant qu'acteur et lui en tant que photographe. Cette chose en vous qui vous dit de le faire quand tous les autres aspects de votre esprit vous disent 'tu es un imposteur.'
 
"Dennis Stock a cette sorte de dégoût désespéré de lui même. C'est une personne qui est totalement incapable de s'aimer lui même et donc il ne peut aimer personne."
 
Le diminutif Rpatz
Charmant et toujours dans l'autodérision, c'est difficile de concilier Robert Pattinson et la super méga star mondialement connue dans les titres de la presse avec le surnom de Rpatz. Je lui dit que la première fois que j'ai lu cette abréviation, j'ai pouffé et je me suis dis: je ne pige pas.

"Ils donnent des surnoms à tout le monde je suppose," dit-il gaiement. "J'adorerai savoir d'où ça vient. J'aime à penser que c'est du mépris où se cache de l'admiration."
 
Ainsi, Rpatz est une création Orwellienne, qui est fiancé à la musicienne FKA Twigs et qui pourrait ou nous vouloir planifier un mariage dans un pub avec des chips, ou un mariage rapide à Las Vegas ou encore faire un truc énorme dans un grand château. Sa mère Clare pourrait ou non approuver. Et ainsi de suite.
 
"Ma mère a des alertes Google," dit-il. "C'est une compulsion abominable. La chose la plus embarrassante est de faire une recherche sur vous-même. Rien ne peut vous affecter si vous ne regardez pas. Les gens qui font attention à ce genre de choses pensent qu'ils essayent de se connecter avec le monde réel. Mais les commentaires sur le net ne sont pas la vraie vie. Heureusement."
 
Loin de la folie d'être Rpatz, Robert Pattinson ne supporte pas de se voir sur un écran.
 
"Je n'aime vraiment pas regarder les films que j'ai fait. Parfois j'aime les regarder avec un public. Mais si vous n'aimez pas ça, c'est un sentiment vraiment pourri. J'aime regarder mes scènes sur un tournage. Car c'est le moment où vous pouvez encore corriger quelque chose. Mais c'est délicat. Parce que ce n'est pas à vous de décider."
 
Par contre est-ce qu'il apprécie le processus?
"Et bien, c'est bizarre. Car je ne pensais pas vraiment devenir un acteur. A l'école mon professeur d'art dramatique m'a dit, peu importe ce que tu fais, éviter d'être acteur. Alors quand j'ai commencé à jouer la comédie je me suis toujours senti comme un perdant. J'ai le sentiment de devoir prouver quelque chose. Quinze ans plus tard, j'ai toujours ce souvenir bien ancré en moi. Je l'aurais probablement toujours."
 
Il rit à nouveau : "Oh, voilà. Qu'est-ce que je raconte? Je crois que c'est un coup des lésions cérébrales."

Traduction Pattinson Art Work


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Once best known as the undead teen Edward in the Twilight series, Robert Pattinson is slowly but surely reinventing himself – from broody cutie-pie to go-to leading man

Stormont may be in crisis and regional unemployment rates do not make for happy reading, but at least Northern Ireland can boast – albeit temporarily – one Robert Pattinson.

Last month, the former Twilight and Harry Potter star delighted two Co Down newlyweds when he agreed to join their wedding hooley. He also hit Cypress Avenue to mark Van Morrison’s 70th birthday, and has been deemed a most excellent sport when it comes to Belfast-based autograph and selfie hunters.

Even by Pattinson’s own account, the sun shines just a little more intently when he graces the northeast: “It’s been sunny every time I’ve been here,” marvels the heavily bearded young actor. “They tell me it rains. But I haven’t seen it.”

Pattinson has decamped to Ulster with a purpose. Following in the footsteps of Game of Thrones and the incoming Dad’s Army reboot, James Gray’s The Lost City of Z is the latest major production to shoot across various Northern Irish locations, including Methodist College, Strangford Lough and Craigavon House. Not that Pattinson has spent too much time in these stately locations. “I have mainly been on the boat that’s falling apart,” he laughs.

The Lost City of Z charts the exploits of the British explorer Percy Fawcett who, in 1925, disappeared in the Amazon while looking for an ancient lost city. In the subsequent years, as many as 100 explorers and scientists have gone missing while attempting to find evidence of Fawcett’s party.
Pattinson of Arabia

Bizarrely, the film is the second Pattinson vehicle this year to feature a 1920s British explorer: he recently played Thomas Lawrence (yep, Lawrence of Arabia) alongside Nicole Kidman in Werner Herzog’s Gertrude Bell biopic, Queen of the Desert.

Is he single-handedly attempting to revive a sub-genre?

“Do you know that I didn’t even think about that until yesterday,” says Pattinson. “I have no idea how it happened. Admittedly, one is in the desert and with Z we’re heading out to the jungle. But they are similar things. I signed on for both movies years ago, and it is weird that they came together at the same time.”

Both Pattinson and principle photography will soon depart for Columbia. I hope he’s had all the relevant shots?
“Ha. Are you reading my emails? I was talking to another actor yesterday and he was telling me about all these different shots. I don’t have anything yet. Should I be worried about this stuff? Because I had been thinking that maybe I should just butch it out.”

Is he, fresh from the Werner Herzog shoot, planning to go full Klaus Kinski in the jungle?

“They did have all these crazy ideas involving smaller crocodiles in the river. But I think my character is going to be a pussy. I’m a little worried about the monkeys. There are hundreds of thousands of monkeys everywhere in Columbia. There are more of them than birds. Have you seen the video of the monkey saving the other monkey’s life? They may take over.”

We’re not too surprised that Pattinson’s career has brought him to far-flung, monkey-infested, mythological spots. Having started big – as in Forbes’ Celebrity 100 big – as Cedric Diggory in Harry Potter and the Goblet of Fire and Edward Cullen in the Twilight sequence, Pattinson (29) has moved stealthily into auteur circles. As well as Herzog, he has worked with David Michôd (The Rover) and twice with David Cronenberg (Cosmopolis and Maps to the Stars).

Is the actor who was listed among People magazine’s 100 most influential people in the world at the age of 24 purposely avoiding mainstream projects? Homogenised roles

“Only in the sense that with all the massive mainstream things I come across, the characters all become a little homogenised,” says Pattinson, who jokingly – but not really – describes himself as an “oddball”. “And so it is kind of like you either play a cliche or do an impersonation of another actor. If a big movie came along that [has] a weirdo character, then I wouldn’t be scared off.”

Is he staking arthouse luminaries, or are they the ones banging on his door?

“A bit of both. James Gray has been one of my favourite directors for ever and ever. When I saw Two Lovers, I thought it was one of the best films I’d ever seen. On a really profound level. I tried to do three projects with him. None of which happened. So Z is a dream come true. Herzog was more random. But if you get the opportunity you are going to work with him.

“I have been trying to work with Claire Denis for a while and that’s supposed to be happening, which is insane. Then there’s the Safdie brothers. They’re the future of cinema, I think.”

Spoken like a proper buff.

“Hmm. When I was younger, I was a real film buff. When I lived in London, I would watch an enormous amount of films. I seemed to have more patience with German New Wave films and so on. Now I don’t know what’s happened. I feel I have had a minor stroke and all I can watch is reality TV. I am grabbing on to the few remaining brain cells.”

Adding to Pattinson’s already impressive auteur tally, director Anton Corbjin’s Life casts the actor as photographer Dennis Stock, who snapped the iconic “Boulevard of Broken Dreams” shot of James Dean in 1955.

The film chronicles the brief friendship between Dean (Dane DeHaan) and the Life magazine photographer. Stock, despite being essayed by the awfully personable Pattinson, is far from an easy sell as a hero. A failing father and artist, he never appears to be comfortable in his own skin. The London-born star has seldom looked, well, greasier.

“He has that thing,” nods Pattinson. “I don’t know if it’s a typical thing for actors. Maybe other actors push it away. But it’s always at the forefront of my mind: thinking you are a fake and trying to get back that confidence to start performing.

“There are parallels between myself as an actor and him as a photographer. Something within you is telling you to do it when every other aspect of your mind is saying ‘you’re a fake, you’re a fraud’.

“Dennis Stock has a sort of desperate self-loathing. He is one of those people who is so incapable of loving himself that he can’t love anybody else.”

The RPatz tag

Charming and ever so self-deprecating, it’s hard to reconcile Robert Pattinson with the super-global-megastar known about red-topped newspapers as RPatz. I tell him that the first time I happened upon that particular abbreviation, I snorted and thought: it’ll never catch on.

“They call everybody something, I suppose,” he says, cheerfully. “I would love to know what the reason was for that. I always like to think its contempt masquerading as admiration.”

Thus, RPatz is an Orwellian creation who is engaged to musician FKA Twigs and who may or may not be planning to have a pub wedding with crisps, a shotgun Vegas affair or a grand castle blow out. His mother Clare may or may not approve. And so on.

“My mother has Google Alerts,” he says. “It’s the most abominable compulsion. The most embarrassing thing is looking yourself up. Nothing can affect you at all if you don’t look it up. People who do pay attention to that stuff think they are trying to connect with the real world. But comments on the internet are not the real world. Thankfully.”

Far away from the madness of being RPatz, Robert Pattinson can’t bear to watch himself onscreen.

“I don’t really like watching the film when it’s done. Sometimes I like watching it with an audience. But if you don’t like it, it is a really shitty feeling. I like watching playback on some movies. Because you might still be able to fix something. But it’s tricky. Because it’s not your call.”

Does he otherwise enjoy the process?

“Well, it’s weird. Because I didn’t really set out to be an actor. At school my drama teacher told me, whatever else I did, to not act. So when I started acting I always felt like the underdog. I felt I have to prove something. Fifteen years later I still have that deep- seated memory. I will probably always have it.”

He laughs again: “Oh, well. What am I saying? I think that brain damage is kicking in again.”

Life is in cinemas on September 25th


Thanks Nancy!

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