jeudi 11 septembre 2014

'Maps To the Stars': Rob Talks about the Movie, Fame and Los Angeles with MetroNews

'Maps To the Stars': Rob Parle du Film, de la Célébrité et de Los Angeles avec MetroNews



Via MetroNews:
"C’est l’hôtel le plus bizarre que j’ai jamais vu," déclare Robert Pattinson. Il est au TIFF pour promouvoir sa dernière collaboration avec David Cronenberg, ‘Maps To The Stars’, une satire sur Hollywood, et il ne semble pas vraiment apprécier la pièce dans laquelle nous le recevons pour l’interview. "Je n’arrête pas de penser à si j’avais séjourné dans une chambre ici…il y a tellement d’ondes négatives dans chaque pièce."

L’ancienne coqueluche de ‘Twilight’, qui se décrit lui même comme quelqu’un de spirituel, ressent les ondes dans les chambres d’hôtel et dans les scripts. 

"Il y a quelque chose de décousu et d’étrange à ce sujet. Mais je ne peux pas vraiment dire ce que c’est."

Il ne parle plus de la chambre, mais de ‘Maps To The Stars’. C’est une satire sur Hollywood, un regard acerbe porté sur la célébrité des enfants, la soif de gloire et la difficulté à garder des secrets, mais Pattinson dit que c’est autre chose qui a attiré son attention. 


"Je ne pense pas avoir réellement songé au côté Hollywoodien de la chose" dit il. "J’ai aimé l’aspect mystique. David n’arrête pas de clamer son athéisme militant, mais chaque film qu’il fait est tellement spirituel" déclare t-il. "Ça n’est pas ça du tout, Mais si ça l’est!"

"Peut-être que je le vois de cette façon parce que je suis une personne assez spirituelle, mais la dernière scène est quelque chose de bizarrement transcendant. Il y a un autel et une maison brulée. C'est comme si la famille était une religion. Et aussi la façon dont les membres de la famille réagissent les uns aux autres, il y a ces étranges serments d'honneur sur le sang, comme tous ces prêtres qui cachent des choses dans l'Église catholique. En cachant ces secrets immondes ils pensent pouvoir les détruire".

 La suite après la coupure / English version after the cut




Le film utilise la notion de la mythologie hollywoodienne comme une palette, pour peindre un tableau montrant les comportements stupides, vénaux et les plus égoïstes de la stratosphère qui se déroulent dans les coulisses des communautés VIP et les boîtes de nuit de Beverly Hills.

Le film, dit Pattinson, reflète "ce que c'était avant. Les choses ont beaucoup changé à Los Angeles. Quand j'ai commencé à venir à Los Angeles tout le monde était mineur et si vous étiez un acteur célèbre les règles ne s'appliquaient pas à vous. Vous pouviez avoir seize ans et entrer dans un club, mais maintenant qu'il y a des téléphones avec appareil photo partout ça n'existe plus. Cette période était tellement bizarre. Vous pouviez voir un acteur de quatorze ans défoncé se faire des lignes de drogue sur une table. C'était dingue. Maintenant, ils le font tout simplement dans la maison de leurs parents".
C'est le deuxième film de Pattinson avec Cronenberg. Le jeune acteur dit du réalisateur de soixante et onze ans qu'il est "marrant à fréquenter", et partagent également la même passion de repousser les limites.

"J'aime faire des choses qui semblent un peu dangereuses et il n'y a pas beaucoup de gens qui font ça. J'ai du mal à me visualiser dans  beaucoup de choses normales. J'aime les choses qui sont en quelque sorte surréalistes. Je les trouve plus facile à interpréter. Je ne suis pas attiré pas des films dramatiques traditionnels. Ça ne me ressemble pas. J'aime les choses qui sont un peu excentriques. "

Traduction Pattinson Art Work


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From MetroNews:
“This is the weirdest hotel ever,” says Robert Pattinson. He’s at TIFF to promote his latest collaboration with David Cronenberg, the Hollywood satire Maps to the Stars, and he doesn’t much like the suite we’ve been given to do the interview. “I just keep picturing if I was actually staying in a room here… there’s such bad terrible vibes in every room.”
A self-described spiritual person, the former Twilight heartthrob picks up on vibes in hotel rooms and in film scripts.

“There is something so jarring and weird about it. I can’t really tell what it is.”


He’s not talking about the room anymore, he’s on to Maps to the Stars. It’s a Hollywood satire, a jaundiced look at child stardom, the thirst for fame and hard-to-keep secrets, but Pattinson says it was something else that grabbed his attention.

“I don’t think I really thought of the Hollywood aspect of it,”
he says. “I liked the mystic aspects of it. David is always talking about being this militant atheist but every single movie he does is so spiritual. He says, ‘It’s not that at all,’ but yes it is!’

“Maybe I’m just reading into it because I’m a very spiritual person but the last scene is this weirdly transcendent thing. There’s an altar and a burnt house. It’s like family as religion. And also the way the family reacts to one another, there are these weird blood honor oaths, like all the priests hiding stuff in the Catholic Church. Hiding these disgusting secrets they think are going to destroy them.”

The movie uses the notion of Hollywood mythology as a palette to paint a picture of the stupid, venal and stratospherically self-involved behavior that goes on behind the scenes in Beverly Hills’ gated communities and nightclubs.

The movie, says Pattinson, reflects “what it used to be. It’s changed quite a lot in LA. When I first started going to LA everyone was underage and if you were a famous actor the rules did not apply. You could be a sixteen-year-old and go into a club but now that there are camera phones everywhere that doesn’t exist anymore. That period was so weird. You’d see a fourteen-year-old actor wasted, doing lines of blow on the table. It was crazy. Now they just do it at their parent’s house.”

This is the second film Pattison has made with Cronenberg. The young actor says the seventy-one-year-old director is “fun to be around,” and also shares a love of pushing the envelope.

“I like to do things that feel a little bit dangerous and there’s not many people who do that. I don’t really relate to that many normal things. I like things that are sort of surreal. I find them easier to play. I don’t gravitate toward kitchen sink dramas. I don’t feel like that. I like things that are slightly off the wall.”


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