lundi 28 juillet 2014

New Really Interesting Interview of Rob! He Talks about Shooting 'The Rover', Tells us more about 'Life', Talks about his Career and Living in LA

Nouvelle Interview de Rob Vraiment Intéressante! Il Parle du Tournage de 'The Rover', nous en dit plus sur 'Life', Parle de sa Carrière et de Vivre à LA


From TheVent:
Tourner The Rover dans un coin isolé du sud de l'Australie avec les acteurs et l'équipe du film tout en profitant d'un pub local était tout simplement parfait, nous dit Robert Pattinson. Toute l'équipe, récouverte de poussière, a bravé un tournage sous de fortes températures, et ils ont tous appris à se connaitre à la nuit tombée autour d'un verre ou deux. Pattinson n'aurait rien changé de tout ça et il dit que ça a aidé le réalisateur David Michôd, son casting et toute l'équipe à créer un lien très fort.

"C'était incroyable,"
dit-il. "Parce que toute l'équipe logeait au même endroit et il n'y avait rien d'autre à faire, nous vivions dans un pub. C'est ennuyeux lorsque vous êtes dans une ville inconnue et que toutes les personnes avec qui vous travaillez vivent dans cette ville, ils rentrent tous chez eux, et vous vous êtes juste coincé dans votre hôtel".

"Lorsque vous avez la possibilité de trainer avec tout un tas de nouvelles personnes, vous devenez proche d'eux très rapidement, surtout quand il n'y a littéralement rien d'autre à faire à coté. C'est vraiment amusant. Je n'avais pas eu cette opportunité depuis longtemps. J'ai vécu une expérience fantastique en faisant ce film".

Pattinson est né et a grandi à Londres et il a débuté sa carrière professionnelle à 16 ans dans le téléfilm 'l'anneau sacré'. Un an plus tard, il a interpreté Cédric Diggory dans 'Harry Potter et la Coupe de Feu'. Il a ensuite joué dans les cinq films à succès 'Twilight', puis dans 'Bel Ami' et 'Cosmopolis'.


Q: Comment ça va?
"Le soir, j'oublie toujours que j'ai des interviews le lendemain donc je sors toute la nuit. (rires) C'est horrible!"

Q: Comment c'était de tourner dans l'Australie rurale?

"Pour moi, c'était vraiment sympa. Il y avait quelque chose de relaxant. J'ai adoré tourner à l'extérieur. Il n'y avait aucune pression, et personne autour."

Q: C'était un soulagement d'être loin des gens?

"Oui, rien qu'en terme de performance. J'aime faire des petites choses avant une prise, comme me mettre dans la peau du personnage, et si vous avez des gens qui essaient de vous prendre en photo en train de faire des mimiques stupides, alors vous y pensez sans arrêt et vous n'arrivez pas vraiment à entrer dans le personnage comme vous le voudriez. Là-bas, vous pouvez faire ce que vous voulez. Ils peuvent penser que vous êtes bizarres, que ce mec fait tous ces trucs bizarres (rires), mais c'est libérateur."

Q: Cela vous-a-t'il plu de jouer un personnage moins beau?

"Oui, enfin je veux dire,  ça éloigne les contraintes. Si quelque te dit "Tu dois être beau". Déjà tu te sens un peu idiot parce que tu es un mec, et ensuite tu réfléchis à des choses qui n'ont pas réellement de sens - tu te retrouves à poser comme un modèle. Mais dès qu'on t'enlève cette obligation, pour ta  propre vanité, c'est un soulagement."


La suite après la coupure / English version after the cut




Q: Comment décrireriez-vous les thèmes de The Rover?
"Je pense que c'est l'histoire de survivants. Je pense que ce sont des personnages simples dans des circonstances extraordinaires. Ils essaient de trouver comment vivre alors qu'il semble n'y avoir plus aucun espoir. C'est comme si il n'y avait rien à faire le lendemain, alors qu'est-ce que vous ête sensé faire de votre journée? Même le gang dont mon personnage fait parti, ils volent de l'argent mais il n'y a rien à acheter, du tout (rires). Eric (Guy Pearce) dit "ça ne vaut rien, ce n'est que du papier". C'est vraiment difficile de trouver une raison pour continuer à vivre lorsque tout semble inutile, et pourtant les personnes continuent de vivre."

Q: Etes-vous heureux d'où vous en êtes dans votre carrière?

"Absolument. Je suis vraiment heureux que ces deux films soient allés à Cannes, c'est exactement ce que je voulais. Je suis vraiment satisfait de ces deux films aussi. Mais c'est sympa - J'ai pu travailler avec des gens avec qui je voulais travailler depuis des années, et j'ai vraiment été chanceux l'année dernière avec tous ces trucs cools."

Q: Qu'est ce qu'il se passe avec Life?

"Je ne sais pas quand il sera terminé. Je viens de voir une bande annconcé qu'ils m'ont montré. A part ça, je n'ai rien vu d'autre. C'était très sympa à faire, et Anton (Corbijn) est vraiment cool. Ce film parle des célèbres photos de James Dean à Times Square; Ca concerne la relation entre James Dean et le photographe. Joel Edgerton est dans le film également, c'est bizarre car il a aussi co-écrit The Rover, et il y a Ben kingsley aussi. C'est cool. C'est intéressant de faire un film sur la photographie avec Anton corbijn, un maître dans la photographie. Il m'a un peu appris à prendre des photos avec un vieil appareil Leica. Elles ne sont pas très bonnes. Je pensais qu'elles seraient absolument géniales. Je les ai développées à la fin du tournage. J'avais pris 25 pellicules et pour quatre d'entre elles je n'avais pas réalisé que je devais sortir l'objectif (rires), donc elles sont toutes blanches. C'était un film sympa à faire."

Q: Les gens vous appellent le nouveau James Dean. Et là, vous faites un film à propos de James Dean mais vous ne l’interprétez pas. Vous n'étiez pas intéressé par ce rôle?

"Non, pas vraiment. Dane (DeHaan) est vraiment courageux de l'avoir fait. C'est l'un des rôles les plus difficiles. Essayer de jouer une icône. Dane a dû porter une perruque, de faux lobes d'oreilles, et des lentilles de contact, la totale. Et la gestuelle de James Dean est très reconnaissable donc tu dois jouer le rôle à fond et l'imiter. C'est comme jouer Harry Potter - tout le monde a des attentes- alors que là je ne suis que l'observateur."

Q: Est-ce que vous appréciez de voyager?

"J'ai toujours aimé ça: Trois mois ici et ensuite tu repars, tu n'as aucune responsabilité. J'ai eu une maison pendant un moment, et puis je l'ai vendue récemment. Je n'étais jamais là, ce sont des tracas supplémentaires. A moins d'avoir des enfants, c'est sympa de pouvoir faire l'expérience de voyager. J'ai réalisé que je n'étais parti nulle part, à par pour le boulot, depuis 10 ans - pas de vacances ni rien. Je n'en ai pas vraiment besoin. A la fin d'un rôle, je suis déjà à la recherche du suivant, mais je vis aussi à LA donc c'est un peu comme si j'étais en vacances tout le temps (rires)."

Q: Quand vous avez du temps pour vous, que faîtes-vous?

"Quand je ne travaille pas, j'essaie de trouver un autre rôle (rires) constamment. Tu commences à réaliser qu'il y a un temps limité pour accomplir des choses, et il y a plein de différentes choses que je souhaite faire, et j'aime vraiment beaucoup travailler, plus que tout autre chose dans ma vie. Mon boulot c'est ma passion."

Q: Est-ce que vous écrivez encore des chansons? Quelle est votre manière de procéder?

"Oui. J'ai recommencé à écrire récemment. Généralement, je fais uniquement des choses qui sonnent bien. Je n'aime pas écrire des chanson d'une manière conventionnelle. Je n'écris pas les paroles de manière séparée, c'est instinctif."

Q: Est-ce que vous avez l'intention de sortir de la musique de manière publique?

"Ça ne me dérangerait pas de faire des albums ou autre, mais je suis assez sensible à la critique, et j'ai reçu beaucoup de critiques concernant déjà un aspect de ma vie (rire) donc je ne veux pas vraiment connaitre l'avis des autres sur cet autre aspect."

Q: As-tu apprécié de travailler avec Guy pour ce film?

"C'était incroyable," dit-il. "Parce que toute l'équipe logeait au même endroit et il n'y avait rien d'autre à faire, nous vivions dans un pub. C'est ennuyeux lorsque vous êtes dans une ville inconnue et que toutes les personnes avec qui vous travaillez vivent dans cette ville, ils rentrent tous chez eux, et vous vous êtes juste coincé dans votre hôtel. Lorsque vous avez la possibilité de trainer avec tout un tas de nouvelles personnes, vous devenez proche d'eux très rapidement, surtout quand il n'y a littéralement rien d'autre à faire à coté. C'est vraiment amusant. Je n'avais pas eu cette opportunité depuis longtemps. J'ai vécu une expérience fantastique en faisant ce film".

Q: Certains acteurs qui ont commencé très jeunes s'éloignent du chemin de façons différentes. Comprenez-vous cela?

"Je n'ai jamais été jeune-jeune. J'ai eu mon premier rôle à 16 ans. Beaucoup de gens n'avaient que 3 ans ou autre. Je n'ai réalisé que je voulais vraiment faire ça que 4 ou 5 ans après, je n'avais pas pris les choses sérieusement. Quand j'avais des rôles, je prenais ça sérieusement, mais je pensais qu'un jour j'irai à l'université et que je ferais autre chose. Ce fût un processus progressif."

Q: Quand avez-vous commencé à vouloir faire ce métier?

"Probablement après Harry Potter, parce que c'est à cette période que j'aurais pu aller à l'université et que j'ai pris la décision de réellement me lancer dans ma carrière d'acteur, et puis je n'ai décroché aucun rôle pendant un an. (rires)"

Q: Qu'auriez-vous étudié?

"Je pense que je voulais étudier la politique, ou quelque chose comme ça. C'est toujours quelque chose qui m'intéresse, comme pour tous les acteurs. Mais la politique américaine, car je ne suis pas très intéressé par la politique anglaise. (rires)"

Q: Y-a-t'il autre chose que vous aimeriez faire?

"Probablement pas pour le moment. Je ne voulais pas être politicien. Je voulais travailler dans la mécanique politique. J'aime écrire des speechs. Bizarrement, je suis apolitique. J'aime le jeu."

Q: Diriez-vous que le film a une connotation politique? L'histoire se passe après une crise économique...

"Oui, je pense qu'il y a définitivement un message qui ressort du film. Il y avait des manifestations physiques assez étranges lorsque nous tournions. Si tu regardes certaines scènes, il y a ces énormes mines bizarres, dans lesquelles ils creusent toujours, mais elles ont dévasté le paysage. Tu te tiens là à les regarder et il n'y a plus aucune vie sauvage - rien ne va plus pouvoir pousser dans ces endroits pendant des centaines d'années. Et ce n'es pas juste cette partie du terrain: Tout est absolument détruit, même si on n'en a pas l'impression. Vous vous demandez "Mais pour quoi faire?" - juste pour pouvoir s'asseoir et jouer à des jeux vidéos."

Q: Comment réagissez-vous au fait d'apparaitre très fréquemment dans les tabloids?

"Je ne les lis pas. Je pense que j'essaie de faire de mon mieux pour sortir doucement de tous ces médias, de ne pas être dans les magazines de gossips et autres. Je ne sais pas comment faire, mais je fais de mon mieux."

Q: Maps to the Stars marche bien à Cannes. Est-ce un soulagement après Cosmopolis?

"Je pense que Cosmopolis a vraiment été sous-estimé. Je pense que c'est un très bon film (rires). J'ai l'ai adoré. Je ferai n'importe quoi avec David Cronenberg. Je me souviens du moment où Cosmopolis est sorti, c'était la première fois que j'étais dans un film et que si quelqu'un disait qu'il ne l'avait pas aimé, c'était parce qu'il était idiot (rires). J'ai un sentiment très fort pour ce film."

Q: Vous avez un tatouage. C'était pour le film?

"C'est une sculpture d'un artiste qui s'appelle Julien Dillens. J'ai juste pensé que ça irait bien avec le personnage."

Traduction merci à Gaga of Robsten & Pattinson Art Work 


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From TheVent:
Filming The Rover in a remote part of south Australia with cast and crew all staying in a local pub was just about perfect, says Robert Pattinson. The filmmakers all mucked in together, braved filming in soaring temperatures, and at night bonded over a drink or two. Pattinson wouldn’t have had it any other way and says that it helped director David Michôd and his cast and crew build an unbreakable bond. 
“It was amazing,” he says. “Because the whole crew was staying in the same place and there was nothing else to do, we were living in a pub. It’s annoying if you’re in an unfamiliar city and all the people you work with are from that city, they all go home, so you’re just stuck in your hotel.

“When you can hang out with a bunch of new people, you get close to them really quickly, especially when there’s literally nothing else to do. It’s really fun. I hadn’t done that for a long time. I had a fantastic experience making this film.”
 
Pattinson was born and raised in London and started his professional career as a 16 year old in the TV film Ring of the Nibelungs. A year later, he played Cedric DIggory in Harry Potter and the Goblet of Fire. He starred in five, hugely successful Twilight films and his other film credits include Bel Ami and Cosmopolis. 
Q: How’s it going?
“I always forget in the evening that I’ve got to do a bunch of interviews in the morning, so I stay out all night (laughs). It’s horrible!”
 
Q: How was shooting in rural Australia?
“For me it was really fun. It was kind of relaxing. I loved shooting out there. There was no pressure, and no one around.”
 
Q: Was it a relief getting away from people?
“Yeah, just in terms of performance. I like doing little things before a take, sort of staying in character a little bit, and if you’ve got a bunch of people trying to take pictures of you doing a stupid face or something, then you’ve just constantly got it in your head, and you’re never really quite in what you want to do. Out there you can kind of do anything you want. They might think you’re a weirdo, this guy doing all this weird stuff (laughs), but it was quite freeing.”
 
Q: Did you enjoy playing a less beautiful character?
“Yeah, I mean it takes away constraints. If someone’s saying, ‘You’ve got to look pretty!’ for one thing you feel like a bit of an idiot, because you’re a guy, and then you’re kind of thinking about stuff that really doesn’t mean anything – you’re just posing. As soon as you take away the allowance for your own vanity, then it’s kind of a relief.”
 
Q: How would you describe the themes of The Rover?
“I think it’s just a story about survivors. I think they’re quite simple people in extraordinary circumstances. They’re trying to figure out how to live when it seems like there’s not a lot of hope. It seems like there’s nothing to do tomorrow, so what are you supposed to do at any point during your day? Even the gang I’m in, they’re stealing money and there’s nothing to use the money for at all (laughs). Eric [Guy Pearce] says, ‘It’s worthless, it’s just paper.’ It’s very difficult to know why to keep living if everything seems totally worthless, and yet people do.”
 
Q: Are you happy at the place you’re at in your career?
“Definitely. I’m really happy these two films got into Cannes, it’s kind of exactly what I wanted. I am really happy with both the films as well. But it’s nice – I just get to work with people I’ve wanted to work with for years and years, and just been really lucky in the last year, with this really cool stuff”
 
Q: What’s happening with Life?
”I don’t know when it’s going to be finished. I just saw a trailer, which they’re playing here. Other than that, I haven’t seen anything from it. It was fun to do, though, and Anton [Corbijn]’s really cool. It’s about the famous photographs of James Dean in Times Square; it’s about James Dean and the photographer’s relationship. Joel Edgerton’s in it, weirdly because he’s a co-writer on The Rover, and Ben Kingsley. It’s cool. It’s interesting doing a movie about photography with Anton Corbijn, a master photographer. He taught me how to take photos a little bit, with an old Leica. They’re not very good. I thought they were all going to be absolutely amazing. I developed them all at the end of the movie and I did like 25 rolls of film, and on about four I hadn’t even realised that you need to pull the lens out (laughs) – so they’re all blank. Four films. It was a fun movie to do.”
 
Q: People called you the new James Dean. Now you’re doing a movie about James Dean, but not playing him. Weren’t you interested in that role?
“No, not really. Dane [DeHaan] is so brave doing it. It’s one of the hardest parts ever. Try and play any iconic person. Dane’s got a wig, fake earlobes, and contact lenses – the whole deal. And James Dean’s mannerisms are so recognisable, so you’ve got to play the part and all this other stuff. It’s like playing Harry Potter – everyone’s got expectations – whereas I’m just the observer”
 
Q: Are you enjoying the travelling?
“I’ve always kind of liked it: three months and then you can just move on, you don’t have any responsibility. I had a house for a bit, and then I literally just sold it recently. You’re never there, and it’s just a bit of a hassle. Unless you’ve got kids or something, it’s nice to be able to experience this stuff. I realised that I haven’t been anywhere, other than for work, in about ten years – no vacation or anything. You don’t really need to. By the end of the job I’m just constantly looking for the next one, but also I live in LA so it’s kind of just like you’re on holiday all the time (laughs).”
 
Q: When you have time for yourself, what do you do?
“When I’m not working I try to get another job (laughs), constantly. You start to realise there’s a finite amount of time to get stuff done, and there’s a lot of different things that I want to achieve, also I like working pretty much more than anything else in my life. My job is my hobby.”
 
Q: Do you still write songs? What’s your process?
“Yeah. I just started again recently. I generally just do stuff that sounds nice. I don’t really write songs in a conventional way. I don’t write lyrics separately, it’s quite instinctive.”
 
Q: Do you intend to release any music to the public?
“I wouldn’t mind doing scores, or something, but I’m quite sensitive to criticism, and I’ve got a lot of criticism coming from one aspect of my life (laughs) so I don’t really want anyone’s opinion on it.”
 
Q: Did you enjoy working with Guy on this?
“Yeah it was amazing. Because the whole crew was staying in the same place and there was nothing else to do, we were living in a pub (laughs). It’s annoying – If you’re in an unfamiliar city and all the people you work with are from that city, they all go home, so you’re just stuck in your hotel. When you can hang out with a bunch of new people, you get close to them really quickly, especially when there’s literally nothing else to do. It’s really fun. I hadn’t done that for a long time. I had a fantastic experience making this film.”
 
Q: Some actors who start very young stray from the path in various ways. Is that something you understand?
“I was never young young. I got my first role when I was 16. A lot of people are three, or something. I also didn’t really realise I wanted to do it for another five years after that, or four years, and I never took it that seriously. When I got jobs, I guess I did, but I thought I was going to go to university and do something else. It was kind of a gradual process.”
 
Q: When did you start wanting it?
“Probably after Harry Potter, because that was right around the same period where I could have gone to university or I could have done that, and I really made a decision to do it then, and then didn’t get a job for a year afterwards (laughs).”
 
Q: What would you have studied?
“I think I wanted to do Politics, or something. I still kind of want to, as do all actors. But American politics, I’m not really interested in English politics (laughs).”
 
Q: Is that something you would still consider pursuing?
“Probably not now. I didn’t want to be a politician. I wanted to work in the mechanics of it. I like speech writing. I’m quite apolitical, weirdly. I like the game.”
 
Q: Would you say that the film has a political subtext? It’s set after an economic collapse…
“Yeah, I mean there’s definitely a message shooting out of the film. There were weird physical manifestations of it when we were shooting it. If you look at some of the shots, there were these weird massive mines, which they’re still digging, but they’ve basically just devastated the landscape. You stand there and look at it and there’s absolutely no wildlife anymore – nothing’s going to be able to grow in these places for hundreds of years. And it’s not just that bit of land: it’s wrecked absolutely everything around it, even if it doesn’t look like it has. You kind of think, ‘For what? – so we can sit around and play video games?”
 
Q: How do you deal with appearing so frequently in the tabloids?
“I don’t read them. I think I’m slowly trying my best to get out of all that kind of media, just being in gossip magazines and stuff. I don’t quite know how to do it, but I’m trying my best.”
 
Q: Maps to the Stars is going well at Cannes. Is that a relief after Cosmopolis?
“I think Cosmopolis is really underrated; I think that’s a great movie (laughs). I loved it. I’d do anything with [David Cronenberg]. I remember with Cosmopolis, when it came out, it’s the first time I’d really been in a movie where if someone said they didn’t like it, it was because they’re an idiot (laughs). I felt very strongly about it.”
 
Q: You have a tattoo. Was that for the film?
“It’s of a sculpture by an artist called Julien Dillens. I just thought it would look like it would really suit the character.”


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