Via Star Tribune:
L'acteur Robert Pattinson passe de Twilight à l'obscurité.
Edward cullen a apporté la renommée à Robert Pattinson, mais il a beaucoup d'autres rôles en tête.
Les jeunes acteurs de Blockbusters interprètent des émotions pas très compliquées qui leur donnent un vitrine de jeu d'acteur assez pauvre. La carrière de Robert Pattinson qui a démarré il y a 5 ans avec la saga Twilight lui a donné une renommée internationale et la richesse, mais la chose qu'il désire le plus c'est : la respectabilité.
Avant même de terminer la saga Twilight, Pattinson essayait d'étendre sa gamme avec des films plus petits. Il a joué le jeune mais complétement excentrique Salvador Dali, dans le drame amoureux hispano-britanique "Little Ashes", et un journaliste parisien plein de médisances dans "Bel Ami". Il a aussi tenu des rôles principaux romantiques à Hollywood dans "Remember Me" et "Water For Elephants", mais il avait en tête des choses plus ambitieuses.
C'est pourquoi il interprète un déficient mental, crasseux et violent dans le thriller australien "The Rover". C'est un sacré changement que fait l'acteur britannique aux côtés de l'intense Guy Pearce. Le duo joue des alliés réticents qui partent chasser des assassins à travers l'Outback. Pattinson a reçu les meilleures critiques de sa carrière avec ce rôle d'inadapté qui bégaie avec accent de Floride.
Le film a été littéralement été tourné sur une route au bout du monde, explique t-il lors d'une récente conversation téléphonique. "C'est là que le tarmac se terminait. Ensuite, il y avait un chemin de terre sur encore 2 000 miles qui allait jusqu'à l'autre bout de l'Australie." Le lieu de tournage principal était un village sordide avec une population de "40 ou 50 personnes, au milieu de nulle part."
Malgré des conditions difficiles, "C'était amusant qu'on soit tous ensemble,"dit-il "Il y avait un air de vacances, aussi. J'ai passé un bon moment." Mais ce fut autant la petite production que le rôle peu décrit qui l'ont attiré, offrant une large latitude à un interprète pour se l'approprier. Le scénario est du réalisateur David Michod et Joel Edgerton, qui sont également tous deux des acteurs.
La suite après la coupure / English version after the cut
Il y avait quelque chose de si particulier dans les dialogues," si concis que ça donne l'impression que David Mamet est bavard. "Il y avait ces deux scènes de dialogues, au milieu de gros silences, qui révèlent des choses sur le personnage, mais d'une façon obtuse. Je savais que je pouvais apporter des tas de choses à ce personnage."
"J'ai pensé que ce rôle était assez drôle quand je l'ai lu pour la première fois," raconte Pattinson. Pourtant, sa rencontre avec les cinéastes lors de l'audition fut un test d'endurance. "Je ne suis pas le genre d'acteur qui peut entrer dans la pièce comme ça et accrocher immédiatement. Je dois tout d'abord gérer un tas de névroses différentes." dit il en riant. "L'audition a duré 4 heures. Les 30 premières minutes, j'étais totalement paniqué, incapable de faire quoique ce soit. Dès que j'ai réussi à passer cette première barrière c'était bien plus facile. David avait compris ça sans aucun doute."
Pattinson avait une grande marge de manœuvre pour créer la façon de parler et l'apparence de son personnage. Ses cheveux ont été coupés court et rasé à l'arrière, révélant une longueur de nuque qui donne une impression de vulnérabilité. "J'aimais l'idée que l'ont voit l'os à la base du crâne" explique t-il. "Je me suis rendu compte que quand vous avez un coupe de cheveux confuse, comme un coton tige, et que vous faites une prise au dessus l'épaule, vous pouvez voir les tendons à l'arrière du cou. Vous pouvez quand même montrer des choses, même si la caméra n'est pas sur votre visage. Vous faites toujours parti de la scène. "
Parallèlement à l'avant-première de The Rover à Cannes, Pattinson a aussi présenté sa seconde collaboration avec David Cronenberg, la cinglante satire sur l'industrie du cinéma "Maps to the stars". Si ce pied de nez blesse des égos dans le monde du cinéma, cela ne va pas ralentir Pattinson une seconde de s’orienter vers les films indépendants. Il a des projets prévus avec Harmony Korine ("Spring Breakers"), James Gray ("The Immigrant") et Werner Herzog, dont le film "Rescue Dawn" a donné à Christian Bale un changement de direction par rapport à sa course pour le rôle de Batman.
Traduction The Rapttz Club & Pattinson Art Work
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From Star Tribune:
Actor Robert Pattinson goes from 'Twilight' to darkness
Edward Cullen is Robert Pattinson’s claim to fame, but he has plenty of other roles in mind.
Young-adult blockbusters deal in uncomplicated emotions that make them a poor actors’ showcase. Robert Pattinson’s career-launching five-year tour on the “Twilight” series gave him worldwide stardom and wealth, but not the thing he wanted most: respectability.
Even before the “Twilight” series concluded, Pattinson was stretching his range in smaller films. He played the 18-year-old but fully eccentric Salvador Dali in the Spanish-British gay love drama “Little Ashes,” and a scandal-mongering Parisian journalist in “Bel Ami.” He also took romantic leading roles in Hollywood’s “Remember Me” and “Water for Elephants,” but his mind was on more ambitious fare.
Which is why he’s starring as a grubby, violent, mental defective in the Australian suspense thriller “The Rover.” It’s an in-your-face change of pace that puts the British-born actor alongside the intense Guy Pearce. The pair play reluctant allies chasing cutthroats across the desolate Outback. Pattinson has won the best reviews of his career as a fidgeting misfit with a stuttering Florida twang.
The film was shot literally at the end of the road, he explained in a recent phone conversation. “It was where the tarmac ended. Then it was dirt road for another 2,000 miles to the other end of Australia.” The main location, a squalid village, has a population of “40 or 50, in the middle of nowhere.”
Though the conditions were rough, “there’s something really fun about having everyone together,” he said. “There’s a holiday element of it, as well. I enjoyed it.” But it wasn’t the stripped-down production that appealed as much as the lightly written role, offering wide latitude for a performer to make it his own. The screenplay is by director David Michôd and Joel Edgerton, both of whom are also actors.
“There’s something so special in the dialogue,” so terse it makes David Mamet sound gabby. “There’s just these two dialogue scenes that reveal things in an obtuse way about the character in the midst of these massive silences. I knew I’d have to bring tons to the table.”
“I thought it was funny when I first read it,” Pattinson said. Still, his audition meeting with the filmmakers was an endurance test. “I’m not the kind of actor who can just walk in and hang it out immediately. There’s just like a whole bunch of different neuroses I have to deal with first,” he said with a laugh. “The audition was like four hours long. The first 30 minutes I was in total panic mode, not able to really do anything. As soon as we got through that initial barrier, it was a lot easier. David definitely understands that.”
Pattinson had lots of leeway in creating his character’s stumbling speech patterns and desert derelict look. His hair is buzzed short and cropped high in the back, revealing a length of neck that looks vulnerable and ax-ready. “I liked the idea of seeing that bone at the bottom of your skull,” he said. I realized that when you’ve just got a fuzzy hairball, like a Q-Tip head, and you’re doing an over-the-shoulder shot, you can see the tendons in the back of your neck and stuff. You can still kind of do things, even when the camera’s not on your face. You’re still part of the scene.”
Alongside “The Rover’s” premiere at Cannes, Pattinson also presented his second collaboration with David Cronenberg, the blistering film-industry satire “Maps to the Stars.” If that nose-thumbing bruises any egos in the movie establishment, it won’t slow Pattinson’s indie-oriented momentum a bit. He has projects lined up with Harmony Korine (“Spring Breakers”), James Gray (“The Immigrant”) and Werner Herzog, whose “Rescue Dawn” gave Christian Bale a change of pace from his run as Batman.
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