Rob parle de la célébrité, ses fans, Twilight et Cosmopolis avec le 'Chicago Suntimes' / Rob Talks about fame, his fans, Twilight & Cosmopolis with The Chicago Suntimes

Ça a été un été plutôt desagreable pour Robert Pattinson. Depuis que sa petite amie de longue date et partenaire dans "Twilight" Kristen Stewart a été photographié dans des poses intimes avec un autre homme il y a quelques semaines, sa vie est devenue effrayante.

Comment le gère t-il ?

"Ça vous rend cinglé," dit-il à propos de tout le battage publicitaire. "C'est de la folie."

"Je ne sais pas comment je gère tout ça. Je ne sais vraiment pas," dit-il.

"De temps en temps, je trouve tout ça assez amusant. C'est assez amusant. Ma vie est un peu ridicule pour moi. C'est tellement absurde parfois."

La semaine dernière il a éludé d'innombrables questions au sujet du scandale alors qu'il faisait la promotion de "Cosmopolis," son nouveau film avec le réalisateur David Cronenberg ("A History of Violence, "Eastern Promises").

Mais à travers ça, il a ressenti l'amour de ses fans. Les fans de Twilight sont définitivement Team Robert.

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"Je ne me donne pas tout le mérite," nous dit Pattinson. "C'est juste qu'il y a quelque chose d'élémentaire dans les livres et les films "Twilight". Le coeur de l'histoire a connecté les gens."

"L'amour des fans pour ça est assez étonnant. Je suppose que c'est bien mieux que de voir tout le monde vous détester."

A ce jour il a développé une attitude - si seulement il savait comment.

"Je veux changer. Je ne peux pas me changer moi-même. Je ne peux pas développer une attitude," raconte Pattinson avec un rire particulier qui est sa marque de fabrique.

Cronenberg rajoute, "je l'ai vu essayé de changer et c'est pathétique."

Dans "Cosmopolis," basé sur le roman de Don DeLillo, Pattinson joue un jeune milliardaire de 28 ans, prodige de la finance et gérant d'actifs, dont le monde est en train d'exploser. Il monte dans sa grande limousine pour se faire couper les cheveux par le vieux barbier de son père et mise l'immense fortune de sa compagnie en pariant contre le Yuan chinois. Son trajet à travers la ville devient un voyage alors qu'il se retrouve face aux émeutes de la ville, à divers visiteurs et à des rencontres intimes.

Filmer dans une limousine pendant si longtemps n'était pas oppressant.

"J'ai plutôt aimé ça," dit-il. "Au début, je voulais rester dans la voiture toute la journée. Mais il y faisait insupportablement chaud. Je ne pouvais pas vraiment faire ça."

"La voiture me permettait de vraiment me concentrer."

L'acteur né à Londres prend l'accent Américain dans le film. "Je ne sais même pas quel accent je faisais la moitié du temps," admet-il. "J'ai toujours trouvé que le dialecte était écrit dans les dialogues."

Cet automne, il jouera le vampire Edward Cullen dans "Breaking Dawn - Part 2," censé être le dernier film de la saga "Twilight".

Les fans de la saga sont sur le point de faire une dépression, et Pattinson leur offre quelques mots d'espoir.

"Je suis sûr qu'il y aura une série télé derivée de "Twilight" bientôt. Il vont le refaire," raconte Pattinson.

Rejouera t-il Edward Cullen à nouveau ?

"Qui sait ?" dit-il. "La seule chose qui pose problème est que je suis supposé avoir 17 ans pour toujours."

"Je ne suis pas sûr de pouvoir avoir 17 ans éternellement," dit-il en rigolant.

Il est excité de voir ce que le futur lui réserve à Hollywood ou autre part.

"La vie est une question de chance," raconte t-il. "Arriver jusque là était de la chance. J'espère juste que ma chance va continuer."

Interrogez le sur ce qu'il sait sur la vie au jour d'aujourd'hui et qu'il ne savait pas quand il était plus jeune, et il rigole encore.

"J'ai surtout appris que je ne savais absolument rien," dit-il. "Je pensais tout savoir. Une fois de plus, je ne savais absolument rien."

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It has been a summer of discontent for Robert Pattinson. Since his longtime girlfriend and “Twilight” co-star Kristen Stewart was photographed in intimate poses with another man a few weeks ago, the heat on his life has been daunting.

How does he deal with it?” 

“It drives you nuts,” he says of all the hoopla. “It’s just nuts. 

“I don’t know how I cope with it. I really don’t know,” he says in a good-natured voice. 

“At times, I find the whole thing pretty funny. It is pretty funny. My life is kind of ridiculous to me. It’s so absurd at time.”

Last week he fended off countless questions about the scandal while making the media rounds to promote “Cosmopolis,” his new film with director David Cronenberg (“A History of Violence,” “Eastern Promises”).

Through it all, he felt the love of his fans. The Twi-hards definitely have been Team Robert. 

“I don’t credit that to myself,” Pattinson says. “It’s just that there is something elemental about the ‘Twilight’ books and the movies. The core story has connected to people. 

“The fan love from that is kind of amazing. I guess it’s so much better than everyone hating you.”

By now he should have developed an attitude — if only he knew how. 

“I want to change. I can’t make myself change. I can’t develop an attitude,” Pattinson says with a goofy giggle that is his trademark.

Adds Cronenberg, “I’ve seen him even try to change and it’s pathetic.”

In “Cosmopolis,” based on the novel by Don DeLillo, Pattinson plays a 28-year-old financial whiz kid and billionaire asset manager whose world is exploding. He gets into his stretch limo to get a haircut from his father’s old barber while wagering his company’s massive fortune on a bet against the Chinese Yuan. His trip across the city becomes a journey as he runs into city riots, various visitors and intimate encounters.

Filming in a limo for so long wasn’t claustrophobic. 

“I actually kind of enjoyed it,” he says. “In the beginning, I wanted to stay in the car for the entire day. But it was so unbearably hot. I couldn’t really do this method. 

“The car made me really concentrate.”

The London-born actor does an American accent in the movie. “I don’t even know what accent I was doing half of the time,” he admits. “I always found that the dialect was written in the lines.”

This fall, he plays vampire Edward Cullen in “Breaking Dawn — Part 2,” meant to be the final installment of the “Twilight” franchise.

Fans of the series are about to enter the depression zone, and Pattinson offers some words of hope. 

“I’m sure they’ll have a ‘Twilight’ TV series spinoff soon. They’ll do it again,” Pattinson says.

Would he ever play Edward Cullen again? 

“Who knows?” he says. “The only thing that creates a little bit of a problem is that I’m supposed to be 17 forever. 

“I’m not sure I can be 17 forever,” he says with another giggle.

He is excited to see what the future holds for him in Hollywood and elsewhere. 

“Life is all about luck,” he says. “Getting to this point was lucky. I just hope that my luck holds out.

Ask him what he knows about life at this point that he didn’t know when he was younger, and he giggles again. 

“I basically have learned that I know absolutely nothing,” he says. “I thought I knew it all. Again, I knew absolutely nothing.”

Source  / Traduction & Pattinson Art Work