Rob parle de 'Mission: Blacklist' avec Metro.us / Rob talks about 'Mission: Blacklist' with Metro.us

 

Metro.us:

En interprêtant Edward Cullen, le vampire lunatique au centre de la Saga 'Twilight', Robert Pattinson a atteint la célébrité mondiale - quelque chose qui ne convient pas vraiment à l'acteur britannique. "J'ai un trouble mental étrange qui fait que je n'entends que les choses négatives", nous dit-il. "Peu importe le nombre de personnes qui peuvent dire des choses flatteuses, je ne retiens que le négatif." (...)

A propos de sa célébrité , il dit: "Sans doute que je pense ne pas la mériter pour le moment, donc je veux vraiment faire quelque chose qui vaille le coup dans ma tête et me démener encore longtemps.."

Ce qui le motive...

Comme en témoignent ses choix récents – dont le défi 'Cosmopolis' de David Cronenberg, dans lequel il subit un examen de la prostate - il n'a pas peur du risque. "J'ai signé pour un tas de choses cette année. J'étais vraiment obsédé par le fait de travailler avec beaucoup de gens qui sont un peu dangereux", dit-il. "La partie commerciale du show-business a vraiment pris le dessus sur l'aspect spectacle de celui-ci, et je pense que toute personne qui a un tant soit peu de visibilité devrait essayer de faire quelque chose qui soit vraiment, vraiment subversif. Je pense qu'il serait intéressant d'essayer de montrer des trucs vraiment subversifs sur le devant de la scène. Vous êtes dans le cinéma non seulement en tant que consommateur mais aussi en tant que participant. "

C'est cette sensibilité qui l'a amené à signe pour le rôle principal de 'Mission: Blacklist', un film qui sera tourné en Irak l'année prochaine. "C'est probablement hors de la zone de confort de n'importe qui", ce que nous dit Pattinson sur ce film, qui est basé sur une histoire vraie. "Ça parle de ce type qui s'appelle Eric Maddox qui était un interrogateur de l'armée qui a trouvé Saddam Hussein, quasiment tout seul. Personne ne connait vraiment cette histoire, et l'histoire est absolument incroyable et plutôt comique d'une certaine façon et bizarre."

Zones de confort

Ce projet associe Pattinson avec le réalisateur français Jean-Stéphane Sauvaire, qui a utilisé de vrais enfants soldats libériens pour son dernier film. "Je pense que c'est son truc," dit Pattinson. "Je voulais qu'il soit dans sa zone de confort, donc nous avons tous les deux insisté, en disant que nous devions tourner en Irak - C'est LE point important "
On peut dire où se situent ses passions par le fait que, au cours de cette interview, l'acteur parle plus de 'Mission: Blacklist' que de 'Twilight'. Mais la promotion de 'Breaking Dawn - Part 2' doit être faite. L'histoire raconte comment Edward et Bella (Stewart) protègent leur enfant contre les vampires tueurs. Il est déjà prévu qu'il sera le plus grand succès de la série. Et l'acteur est également occupé sur un autre projet de grande envergure, de peur de perdre la possibilité de voir faire les plus risqués. "Cette année, je pense que je devrais probablement essayer de faire un film qu'au moins une personne verra," dit-il, "je suis en train de mettre cela en place maintenant."

 

Traduction: Mission:BlaclistFrance

Original version after the jump

Metro.us:

Starring as Edward Cullen, the moody vampire at the center of the "Twilight" series, Robert Pattinson has achieved worldwide stardom -- something that doesn't sit well with the British actor. "I have a weird mental disorder where the only thing I can ever hear is the negative stuff," he tells us. "It doesn't matter how many people say anything complimentary, it's always the negative." (...)

Of his fame, he says: "Maybe I feel like I don't particularly deserve it yet, so I really want to do something worthwhile in my head and struggle for a long time."

What drives him
As evidenced by recent choices -- including David Cronenberg's challenging "Cosmopolis," which featured him getting a prostate exam -- he's not afraid of risk. "I signed up for a lot of stuff in the last year. I was really fixated on working with a lot of people who are kind of dangerous," he says. "The business part of show business has really just taken a big s-- on the show aspect of it, and so I think anyone who has any visibility should be trying to do something that is really, really subversive. I think it would be interesting trying to get really subversive stuff into the mainstream. You're in the cinema not just as a consumer but as a participant."

It's that sensibility that led him to sign up for the lead in "Mission: Blacklist," a film to be made in Iraq next year. "That's probably out of anybody's comfort zone," Pattinson offers of the film, which is based on a true story. "It's about this guy call Eric Maddox who was an Army interrogator who almost single-handedly found Saddam Hussein. No one really knows the story of it, and the story's absolutely amazing and kind of hilarious in some ways and bizarre."

Comfort zones
That project teams Pattinson with French director Jean-Stephane Sauvaire, who used real Liberian child soldiers for his last film. "I think that's like his thing," says Pattinson. "I wanted him to be in his comfort zone, so we were both pushing, saying we need to shoot this in Iraq -- that's the whole point."
You can tell where his passions lie by the fact that, during this interview, the actor talks more about "Mission: Blacklist" than "Twilight." But promotion for "Breaking Dawn - Part 2" must be done. The story finds his Edward and Stewart's Bella protecting their child from killer vampires. It's already predicted to be the highest-grossing effort in the series. And the actor is busy lining up another high-profile project, lest he lose his ability to get the riskier ones made. "This year I'm thinking I should probably try to do a movie which at least one person will see," he says, "so I'm trying to figure that out now."